Turkoise dévoile une chanson inspirée de ses visites aux soins palliatifs

Turkoise et Madame Provençal - Courtoisie Amplitude

L’auteure, compositrice et interprète québécoise Turkoise dévoile son nouveau titre On m’a dit que. Après avoir réalisé plus de 80 spectacles par année en formation coverband et d’avoir été choriste pour Mario Pelchat, la jeune chanteuse propose une troisième chanson en solo alliant une musique puissante à des paroles inspirantes. Réalisée par Hubert Maheux (Maxime Landry, Annie Blanchard, Rémi Chassé), la pièce a été masterisée au Lab Mastering, studio associé à 51 nominations dans 22 catégories lors du dernier Gala de l’Adisq.

Turkoise, c’est une expérience sensible, vivante et profondément humaine. « La réalité bouleversante des soins palliatifs et ma sensibilité se sont rencontrés à un moment charnière de ma vie, un moment où j’étais prête à vivre des émotions contradictoires et à me remettre en question » confie la chanteuse. Pour sa nouveauté, Véronique Tremblay, alias Turkoise, a puisé son inspiration dans ses nombreuses visites comme musicienne auprès de personnes en soins palliatifs. Chaque fois qu’elle s’y présente, elle entrevoit l’importance d’un moment de musique, de partage et de considération humaine. L’équipe du Téléjournal de Radio-Canada s’est d’ailleurs intéressée au rôle que joue Turkoise lors de ses visites à l’hôpital et un reportage a été tourné en novembre dernier. Les images poignantes empreintes d’humanité démontrent l’impact profond de Turkoise auprès des patients, et la manière dont l’art peut toucher, apaiser et recréer un lien humain.

La chanson On m’a dit que établit un parallèle entre la considération, symbolisée par la lumière, et l’indifférence, traduite par des faits. La lumière y incarne un besoin fondamental : celui qui nourrit l’élan de vie, construit l’estime de soi, donne le sentiment d’exister, d’être écouté, d’avoir une place. Ce morceau invite à une réflexion profonde sur ce que l’humain porte en lui. Il parle des émotions, de la vie, de la mort et de la puissance silencieuse d’une larme.

« Cette chanson est spéciale pour moi. Non seulement parce qu’elle est inspirée d’une expérience qui a bouleversé ma vie, mais aussi parce que je ressens une véritable libération en chantant : “la peine fait peur quand une larme se meurt”. C’est une manière de ramener l’humain au centre. “Si je le dis, ils vont peut-être le croire?” C’est un peu comme crier “vivre la paix” malgré l’existence de la guerre. Je suis heureuse de révéler au monde que, même dans l’indifférence, un moment de lumière est possible » lance l’artiste.


À propos de Turkoise

La petite Véronique est arrivée telle une météorite dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean ; un pays où il est possible de rêver à des rivages lointains. À cinq ans, elle se glisse au sous-sol pour faire la connaissance d’un vieux piano d’expérience, qui saura lui expliquer la musique et un peu la vie. Aujourd’hui encore, ce vieil ami lui propose de s’asseoir à ses côtés pour retrouver ensemble les rêves de son enfance. De la forêt en périphérie du lac circule une rumeur; il paraît presque certain que le piano et l’enfant devenue adulte ont uni leur voix. Mais encore plus surprenant, Véronique Tremblay, la petite fille du Lac-Saint-Jean, se fait maintenant appeler Turkoise. Titulaire d’un DEC en communication dans les médias, d’un baccalauréat en administration et d’un autre en interprétation musicale, elle se produit sur scène lors de plus de 80 spectacles par an à travers le Québec, au sein d’une formation coverband. Au cours de sa carrière, elle a notamment été choriste pour Mario Pelchat lors de deux tournées du projet à succès Mario Pelchat et les prêtres.

On m’a dit que arrive sur toutes les plateformes numériques le 18 avril.

Le vidéoclip du titre sera dévoilé sur YouTube le 20 avril.