Stéphanie Boulay dévoile aujourd’hui La mauvaise question, un extrait qui se retrouvera sur son deuxième album solo Est-ce que quelqu’un me voit? qui verra le jour le 11 avril prochain.
Sur cette première offrande seule depuis 2018, Stéphanie plonge dans la quête de sens, la remise en question, l’analyse des normes, des attentes et des miroirs. En résulte des chansons dépassant le journal intime, des réflexions rejoignant toute une génération. Au cœur de ces questionnements: la féminité, la nulliparité, les traumas intergénérationnels et le passage du temps, le couple, la solitude et l’amitié.
Écouter La mauvaise question de Stéphanie Boulay
La mauvaise question, une pièce pop et insolente, est une diss song, une break up song. Un véritable ver d’oreille que Stéphanie espère voir plein de femmes chanter à tue-tête, dans leur auto avec leurs amies, les cheveux au vent, la larme à l’œil, et que ça leur fasse du bien. Entourée de nombreux talents, Stéphanie Boulay a fait appel à son complice Alexandre Martel (réalisation et guitares), puis à PE Beaudoin (batterie), Cédric Martel (basse), Camille Gélinas (claviers) et Charles Blondeau (guitares).
L’autrice-compositrice-interprète et autrice Stéphanie Boulay a décidé, faute d’arriver à choisir quel chapeau porter au quotidien, de ne plus essayer de se définir et surtout, de se contraindre. Suite à ses études en musique, puis en littérature, on l’a lue (À l’abri des hommes et des choses et Anatole qui ne séchait jamais (Prix TD), en plus de quelques collectifs et blogues), on l’a entendue dans les médias, mais on l’a surtout connue comme « la moitié blonde » du duo Les sœurs Boulay, décoré d’un disque platine et maintes fois récompensé par l’industrie.
Stéphanie a aussi tenté l’aventure musicale en solo avec le long jeu Ce que je te donne ne disparaît pas en 2018, qu’elle a vite fait de remballer, par gêne, par pudeur ou par peur. Elle revient seule aujourd’hui, sans gêne et sans peur cette fois, avec le premier extrait de Est-ce que quelqu’un me voit?, un album cru, extime, mais aussi décomplexé, libre et dansant.