À 10 ans, Georges Karam se démenait pour servir les clients de la papeterie familiale de Beyrouth, en pleine guerre civile libanaise. C’est là, sous les bombes, qu’est né son amour de l’entrepreneuriat. Lorsqu’il arrive au Canada, il a 19 ans et 200 $ en poche. Trente ans plus tard, ce dragon et brillant homme d’affaires revient sur son parcours et sur ce qu’il retient de ses trois décennies d’entrepreneuriat.
Avec les années, Georges Karam a appris que la réussite ne se mesure pas uniquement en chiffres ou en accomplissements professionnels, mais aussi et surtout dans la qualité des liens que l’on construit avec les humains qui nous entourent, dans le sens que l’on donne à nos décisions et dans leur cohérence avec nos valeurs.
« Je suis un entrepreneur accompli, mais je ne voudrais pas me limiter à cette seule étiquette. Aujourd’hui, mon regard sur moi-même est plus affûté et j’ose croire qu’il est porteur d’une certaine sagesse. Cependant, me présenter ainsi me fait du bien et m’aide à réaliser que j’ai atteint les objectifs que je m’étais fixés. »
Déjouer le destin offre une plongée singulière dans l’univers exigeant des affaires, avec un homme de cœur, habité par le profond besoin de laisser un héritage et de donner du sens à ce qu’il entreprend, d’avoir un impact réel sur le monde et de laisser sa trace.
À propos de l’auteur
Homme d’affaires, innovateur et philanthrope, Georges Karam est une personnalité influente dans le monde de l’entrepreneuriat au Québec et au Canada. Il est aussi l’un des dragons attitrés de l’émission Dans l’œil du dragon, diffusée sur les ondes de Radio-Canada, et prendra part à la première saison de Shark Tank Liban, en plus d’être un mentor inspirant pour les nouvelles générations d’entrepreneurs.